Il est libre Val

Faut-il qu’il ait le cuir aussi épais que son livre pour avoir, sans faillir, enduré tant d’attaques et pour parvenir aujourd’hui, sentant que « les contours de la réalité lui apparaissent avec précision », à évoquer l’enfer de son quotidien protégé 24 heures sur 24. Serait-il du même bois que son Zola qui, au lendemain de la publication de « J’accuse ! », réclamait au directeur de l’Aurore les lettres des abonnés, ajoutant : « J’aime les injures » ? Peut-être partage-t-il avec lui la conviction -ou la consolation ...

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