Hanouka à hauteur d’enfants

Ayant lieu en fin d’année civile, donc bien après les fêtes de Tichri, la fête de Hanouka est sans doute celle que les écoles juives prennent particulièrement le temps et le soin de préparer. Quelques semaines à l’avance, que ce soit dans les classes maternelles et élémentaires, on s’active autour de la confection de chandeliers et d’autres objets propres à la célébration de ces huit jours de fête. Des fioles d’huile ou des toupies par exemple.Pour Yaïr, sept ans, en CE1 dans une école juive de Marseille, Hanouka est « la meilleure des fêtes ». « C’est bien parce que l’on mange des beignets tous les soirs pendant huit jours, parce que l’on allume tous ensemble des bougies et surtout parce que l’on reçoit des cadeaux ! ». Des considérations certes matérielles, mais qui ne l’empêchent pas de comprendre le sens de la fête : « Hanouka, c’est pour se souvenir de la victoire des Juifs et du miracle de la fiole d’huile. Les Grecs empêchaient les Juifs d’étudier la Torah. Ensuite, le Beth HaMikdach a été saccagé. La seule fiole d’huile qui restait devait permettre à la flamme de tenir un seul jour. Le miracle, c’e ...

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