Grâce présidentielle pour l’ex-président ?

La commission des libérations conditionnelles avait rejeté le 6 avril la demande de liberté anticipée déposée par Moshé Katsav qui purge, depuis 2011, une peine de sept années de réclusion criminelle pour viol. « Il n’a jamais reconnu les faits et n’a suivi aucun programme de réhabilitation en prison » ont argué les juges pour justifier de leur décision ajoutant que l’ex-président de l'État d'Israël ne s’inquiétait que pour lui-même et n’avait jamais eu ni mot pour ses victimes ni regret pour ses agissements. Ses avocats ont décidé d’ interjeter appel de cette décision alors que ...

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