Gil Taïeb: pas de complaisance pour les ennemis d’Israël
Toute cette semaine, mon esprit a été perturbé et des images s'y sont bousculées ! Une fois de plus, un sentiment de mal-être m'envahit lorsque je vois combien la souffrance de nos enfants n'intéresse presque personne. Pire encore, lorsque je vois et j'écoute ceux qui n'ont de cesse de condamner Israël. Je devrais pourtant y être habitué mais je ne peux et surtout ne veux m'y résigner.Toute cette semaine, comme des centaines de millions de citoyens du monde, j'ai regardé la télévision, désireux de vibrer devant ce merveilleux rendez-vous sportif et universel que représente la coupe du monde de football. Comme tout un chacun, j'ai eu envie d'oublier la haine, la division et les conflits mais cela m'a été refusé ! Derrière les chants et les hymnes entonnés par les supporters, je ne pouvais ignorer les pleurs et les sirènes qui retentissaient dans les rues de Sdérot, Ashkelon, Ofakim, Shaar A Neguev et d'autres villes du sud d'Israël. Derrière la course des joueurs vers le but, je ne pouvais occulter celle de ces milliers de femmes, d'hommes et d'enfants qui n'avaient que quelques secondes pour trouver un abri ...
