G.W. Goldnadel : Lorsque l’islamo-gauchisme est juif…

L'islamo-gauchisme, je l'ai écrit à plusieurs reprises en ces temps malheureux, a été le terreau intellectuel et médiatique de l'antisémitisme criminel. Par sa complaisance envers l'islamisme, par sa compréhension de la violence terroriste, par sa détestation pathologique d'Israël. Cette névrosée cinquantenaire qui, comme je l'écrivais le 6 janvier dans ma chronique du Figaro a peu à voir avec l’islamisme et tout avec le gauchisme, a désormais l'âge de la ménopause. Mais lorsque l'islamo-gauchisme est juif, ce qui est fréquent, il est encore plus redoutable dans sa perversité et ses effets. Perversité narcissique, car contrairement à ce que l'on soutient ordinairement, le juif antisioniste ne souffre pas d'une haine pathologique de lui-même, il s'est retranché depuis longtemps et bruyamment de sa communauté originelle, mais au rebours de trop d'amour pour sa petite personne. Car convenons-en, au moment où les médias d'extrême gauche sont encore en majesté, il est plus gratifiant socialement de cogner sur l'État juif honni que de le défendre dans une ingrate réprobation mondaine.C'est dans ce cadre psychologique qu’interviennent les fantasques déclarations de Rony Brauman sur Europe 1 le 16 janvier, en pleine affaire dite de la kippa marseillaise : à l’ent ...

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