France, Israël et les chemins de la start-up nation

« France is the place to be. This is the place to invest ». Emmanuel Macron n’a pas manqué son passage porte de Versailles, jeudi dernier. Le président de la République était l’invité de marque de la seconde édition de VivaTech, organisée par Publicis et Les Echos, des 15 au 17 juin, à Paris. Un mois après son élection, celui qui fut un temps dépeint par les observateurs comme une « start-up politique », au fil d’une campagne fulgurante, aux ressorts inédits, M. Macron a donné au salon international du numérique une couleur politique. « Entrepreneur is the new France », a-t-il assuré devant une salle enthousiaste, à l’écoute de sa feuille de route technologique. Celle-ci est dominée par le lancement d’un fonds de 10 milliards d’euros et l’annonce d’un French Tech Visa, d’une durée de quatre ans, destiné aux développeurs et investisseurs d’entreprises innovantes. « La France est en train de devenir la nation des start-ups », assurait le président français. « Elle doit réussir ce pari ».« La nation des start-ups ». L’expression résonnait fortement du côté du pavillon israélien, à nouveau bien garni cette année. Israël, « start-up nati ...

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