Fermer ou se réinventer :le dilemme des restaurants casher

Si pour certains établissements, la livraison et la vente à emporter permettent de maintenir une petite activité, d’autres ont préféré complètement tirer le rideau. 2020, année noire pour le secteur de la restauration qui, après un premier confinement, n’a pu relancer son activité qu’avec un protocole extrêmement contraignant avant de devoir renoncer à son service en soirée en raison du couvre-feu et, depuis le 30 octobre dernier, à recevoir sa clientèle dans ses murs. Le concept de certains est inadapté avec la vente à emporter « Le pire, maintenant, c’est que l’on ne peut même plus faire de livraisons après 21 heures », explique Pierre Zaoui, qui a ouvert le restaurant « Il Nuovo » dans le XVIIe arrondissement de Paris, peu avant le début de la crise sanitaire. « Et comme la convivialité est devenue impossible, on ne commande plus que le nécessaire », ajoute-t-il. Dans cette crise, néanmoins, tous les restaurants ne sont pas logés à la même enseigne. Pizzerias, restaurants asiatiques et sandwicheries s’en sortent généralement moins mal que les bistrots et les restaurants gastronomiques. Laurène C ...

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