Erdogan libre de ses mouvements

La date figurera sans doute un jour en bonne place dans les livres d’histoire des enfants d’Istanbul ou de Gaziantep. Un communiqué de presse annonçait, le 4 mai, que le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu ne briguerait pas, à la fin du mois, un nouveau mandat à la tête du parti islamo-conservateur AKP. Une mise à l’écart brutal pour l’homme qui souhaitait incarner la renaissance d’une diplomatie néo-ottomane avec la formule « zéro-problème avec nos voisins ». Le résultat de l’isolement diplomatique du pays (Syrie, Russie) mai ...

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