Entre Pessa’h et Chavouoth

A Pessa’h, nous mangeons du pain pauvre car spirituellement nous étions pauvres en Egypte. Pour que la sortie de ce lieu d’esclavage puisse se produire, D.ieu fut comme « contraint » de nous procurer des commandements (2) afin de nous donner un mérite et justifier cette libération. Le Talmud (3) confirmera cet état en donnant au concept de pauvreté une approche profonde : « Il n’y de pauvre que par l’esprit » disent nos Maîtres, comme pour signifier que la pauvreté la plus grave est celle qui découle d’une absence de connaissance ou d’intelligence. La sortie d’Egypte fut un prodigieux dévoilement divin mais les enfants d’Israël, d’eux-mêmes, n’eurent pas de mouvement volontaire pour quitter l’Egypte. Dès lors, comment purent-ils recevoir la Thora et connaître une richesse intérieure exceptionnelle cinquante jours après avoir quitté l’Egypte ? Une valeur relativeC’est le compte des jours, (la Séfirath haomer), qui séparait la sortie d’Egypte du don de la Thora qui ...

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