Elections : l’effet Mandelblit

Les premiers sondages publiés depuis l'annonce du projet d'inculpation de Binyamin Netanyahou ont déjà traduit l'effet sur l'opinion de l'incertitude judiciaire qui plane sur le chef du Likoud. Le bloc de droite perd l'avantage qu'il détenait depuis le début de la campagne et ne totalise plus dans les intentions de vote que 59 sièges, alors qu'il en faut au minimum 61 pour assurer une majorité à la Knesset. Mais l'opinion n'a pas pour autant basculé en faveur du bloc centriste, qui ne parvient pas non plus à dégager une majorité claire, à cause des petits partis qui pourraient rester sous le seuil de représentativité. Pour ce qui est de la situation de Binyamin Netanyahou dans l'opinion, les enquêtes montrent aussi qu'elle se fragilise. Un tiers des Israéliens estime que le Premier ministre devrait démissionner immédiatement, contre un tiers qui considère qu'il doit attendre la confirmation de sa mise en examen, et un tiers ne se prononce pas.La campagne entre donc dans une nouvelle phase qui exige de ...

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