De « Sallah Shabati » à « Wonder Woman »

En cette année 1971, Yehoram Gaon n’a pas encore triomphé dans « Kazablan » et les parents de Nathalie Portman attendront encore une décennie avant de donner naissance à leur jolie bébé à Jérusalem. Dans le jeune Etat d’Israël à la vie cinématographique balbutiante, le succès populaire a alors plus largement ouvert ses bras au « cinéma bourekas » de « Sallah Shabati » (1963) qu’à l’œuvre d’Uri Zohar, « Un trou dans la lune », inspirée de la Nouvelle vague française. Un acteur incarne ce genre, jusqu’aux portes d’Hollywood : Chaim Topol. En 1965, il est distingué par un Golden Globe de la révélation masculine de l’année, ex-aequo avec George ...

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