Créteil profondément meurtri par l’assassinat d’Alain Ghozland

L’annonce de son enterrement, mercredi 13 janvier, tard dans la soirée au cimetière de Valenton n’avait que peu circulée. Plusieurs centaines de personnes s’étaient pourtant pressées dans le froid et l’obscurité pour rendre un dernier hommage à Alain Ghozland. La veille, ce retraité de 73 ans, doyen des élus de Créteil, figure emblématique de l’opposition locale mais néanmoins ami du maire Laurent Cathala, véritable pilier de la communauté juive de Créteil que son père avait fondée, avait été découvert assassiné au domicile de sa mère, âgée de 102 ans, absente au moment des faits. Lors de l’enterrement de son fils, cette dame, d’une dignité exceptionnelle, bouleversa l’assemblée par son courage et les mots qu’elle parvint – malgré sa douleur – à prononcer.L’autopsie pratiquée a confirmé qu’il y avait bien eu lutte entre la victime et ses agresseurs. Alain Ghozland serait mort d’asphyxie suite à une strangulation. Quatre jours plus tard, deux jeunes connus des services de police et dont l ...

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