Comment comprendre ce rejet ?

Les Assemblées générales extraordinaires (AGE) étaient fixées, de longue date, à celle du dimanche 29 novembre. Ce jour-là, les délégués des communautés juives de France étaient convoqués le matin et les adhérents du Consistoire de Paris l’après-midi à la synagogue Berit Chalom de la rue Saint Lazare, dans le IXe arrondissement parisien, pour approuver ou rejeter le projet mené par Joël Mergui. Pour mémoire, l’enjeu était notamment d’aboutir à une gouvernance et présidence unique des deux institutions, le consistoire central et le Consistoire de Paris, ainsi qu’à la suppression de l’élection directe des administrateurs du Consistoire de Paris par ses adhérents, au profit de la mise en place d’un système de grands électeurs issus des élus de chaque communauté francilienne.Autant dire qu’en raison des mesures de sécurité mises en place à la suite des attentats et avec l’arrivée des nombreux chefs d’État attendus pour la Cop 21, se rendre au centre de Paris ce jour-là relevait de la gageure. Nombreux sont les adhérents qui ont d’ailleurs dû y renoncer. D’où la faible mobilisation constatée. Alors que le nombre d’adhérents au Consistoire de Paris se compte ...

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