Cinq ans après le massacre d’Itamar, la blessure est toujours ouverte

Même quand les attaques redeviennent quotidiennes et qu'il n'est pas toujours facile de se les rappeler toutes, il y a quelques tragédies qui traversent le temps et restent à jamais imprégnées dans les mémoires. Le massacre d'Itamar est de celles-là. C'était la nuit de chabbat, le 11 mars 2011. Dans l'implantation d'Itamar, tout le monde dort dans la maison de la famille Fogel. Deux terroristes palestiniens qui ont réussi à s'infiltrer dans le village, pénètrent dans la maison. Armés de couteaux, ils vont égorger l'un après l'autre Udi et son épouse Ruthy, puis leurs deux fils Yoav et Elad, âgés de 11 et 4 ans et leur sœur, la petite Hadas, âgée d'à peine trois mois. Miraculeusement, les deux assassins ressortent de la maison ...

Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal

Je me connecte

Supplément du journal

Petites annonces

Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce

Publicités

Bouton retour en haut de la page

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page