Christophe Dechavanne : « Quand je suis allé à Jérusalem, j’ai ressenti quelque chose de bouleversant »

Actualité juive : Deux notions incarnent à vos yeux la tournée « Âge tendre » : «Profondeur d’âme des artistes » et «Nostalgie »…Christophe Dechavanne : La profondeur d’âme est ce que j’ai toujours essayé de véhiculer, dans mes relations familiales, amicales, amoureuses ou professionnelles. Avec ce collectif, j’ai à cœur d’instaurer une ambiance amiliale… Lapsus révélateur : je voulais dire familiale et amicale ! Je veille à ce que les artistes soient bien traités. Et comme ils sont heureux, ils donnent le meilleur d’eux-mêmes et partagent. Je vois bien l’émotion qui se dégage quand, à l’entracte et à la fin du spectacle, ils vont à la rencontre du public pour les signatures. La nostalgie est positive car elle rappelle à chacun des moments de vie très forts. Ce mélange de bienveillance et de talent, de savoir-faire et de moyens donne un spectacle canon ! Je l’affirme avec fierté.A.J.: L’émotion suscitée par les disparitions de Johnny Hallyday puis de France Gall ne montre-t-elle pas qu’on a tous quelque chose en nous de cette époque ? C.D. Les artistes de la tournée faisaient tous la couverture de Salut les Copains avec Johnny. Au risque de paraître un peu prétentieux, on a, sur scène, la représentation vivante du patrimoine de la variété française de ces années-là.A.J.: Deux heures trente de show, pour un nouveau spectacle encore plus festif. Est-ce la touche Dechavanne ?C.D. Cette durée est une exigence de notre part, ad ...

Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal

Je me connecte

Supplément du journal

Petites annonces

Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce

Publicités

Bouton retour en haut de la page

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page