Chemini Atseret ou la recherche de l’intériorité

Une réponse à cette question se trouve dans un beau commentaire du Sefat Emet (5638), deuxième Rabbi de la lignée de Gour, qui propose le développement suivant : le Psaume 81 énonce : « Sonnez le chofar à la néoménie [de tichri], au jour [où la lune se] dissimule, leyom ‘haguénou », c'est-à-dire « en vue du jour de notre célébration », Chemini Atséret (on comprend généralement « leyom ‘haguénou » comme « pour le jour de notre fête »). Cette interprétation induit que Chemini Atséret constitue la finalité des jours de jugement [et aussi de Souccot]. Elle est le huitième jour de Souccot car elle en est la suite et elle constitue en même temps une célébration autonome car elle en est la finalité suprême, l’événement préparé depuis Roch Hachana. Si Chemini Atséret possède un tel caractère, c’est car en ce jour, écrit le Sefat Emet, « l ...

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