Ces écoles publiques engagées dans un travail de mémoire

Conscients que trois ou quatre heures de cours magistral sur la Seconde Guerre mondiale ne suffiront pas pour prendre conscience de la Shoah, des enseignants, soutenus par les établissements où ils exercent, s’efforcent depuis de nombreuses années d’initier des projets pédagogiques et dynamiques exceptionnels pour tenter d’y parvenir.Parmi les reconnaissances de ces travaux figure le prix Annie et Charles Corrin, placé sous l’égide du Fonds Social et parrainé par le ministère de l’Éducation nationale. Rescapé de la Shoah, Charles Corrin avait d’emblée perçu la nécessité d’agir auprès des jeunes pour œuvrer contre l’oubli voire le négationnisme. Avec son épouse Annie, il décida en 1989 de lancer un Fonds qui récompense un projet didactique mené en milieu scolaire ou associatif autour de l’enseignement de la Shoah. Les Lauréats 2019 – les prix seront remis ce jeudi 24 janvier – sont des élèves de Première ES du Lycée Grand Air de la Baule pour leur projet intitulé « Shoah, des destins singuliers » ; des élèves de Première et Terminale du Lycée international Charles de Gaulle de Dijon pour leur projet « De l’anti ...

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