Caroline Loeb (« C’est la ouate »): « Pour 5775, continuons à voir la beauté partout »

Actualité juive : Que raconte votre spectacle « George Sand et moi » ?Caroline Loeb : C’est une mise en abyme de l’écriture d’un spectacle sur George Sand. Je suis dans la maison de ma mère pour écrire ce spectacle, et je dois trouver une façon de raconter un maximum de choses. George Sand était un personnage extraordinaire. Elle a eu mille vies, des curiosités exponentielles : la musique, la littérature, la peinture, etc… Par cette mis en abyme, je peux tout aborder. J’ai voulu en un faire spectacle très personnel, moderne, drôle. Parce que quand on s’attaque à personnage du patrimoine, il faut le monter vivant et comment il nous touche aujourd’hui. Le spectacle touche aux sensations d’enfance, au rapport à la création. C’est d’ailleurs presque plus un spectacle sur création qu’un spectacle sur George Sand. C’est en quelque sorte, mon rapport à la création. A.J. : Pourquoi ce recours aux personnages dans ce cas ? Après Mistinguett et Madonna dans votre spectacle précédent, George Sand ?C.L. : On a toujours besoin, quand on est artiste, de références. On fait ce métier parce qu’on a entendu une chanteuse quand on avait 8 ans, vu un film à film 14 ou lu livre.  On fait cela après un coup de cœur artistique. Rendre hommage aux personnages extravagants du music hall, c’était réinventer le féminin. George S ...

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