« Briser le silence » : le ton monte

Tout a commencé début décembre avec la visite du président Rivlin aux Etats-Unis. Une conférence organisée par le journal Haaretz à New York conviait parmi ses participants le président Rivlin et des représentants de l'association "Briser le silence", Shovrim Shtika de son nom hébreu. Ils ne participaient pas au même panel et n'étaient pas là le même jour, mais la seule présence des deux noms sur la liste a suffi pour déclencher la polémique en Israël. Comment le chef de l'Etat pouvait-il accepter de s'exprimer dans le même événement que des militants qui utilisent toutes les tribunes possibles hors d'Israël pour critiquer Tsahal, se sont indignés plusieurs élus de droite. Le ministre de l'Education Naftali Bennett a interdit l'entrée des établissements scolaires aux représentants de l'association. Le ministre de la Défense leur a de son côté interdit l'accès aux bases de Tsahal. « J'ai vu les dégâts qu'ils peuvent produire sur les campus américains » a expliqué Moshe Yaalon, qui a ...

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