Bernard Bitan : « Les apparences s’avèrent souvent trompeuses »
Actualité Juive : Après «Le prénom» qui a fait salle comble, vous voilà à l’aube d’une nouvelle aventure…Bernard Bitan : Et quelle aventure oui ! J’ai écrit cette pièce espérant la présenter peut-être dans un petit café-théâtre, et elle va être jouée, en première mondiale, au Cameri, le théâtre national israélien qui, pour la première fois, a accepté d’accueillir une production privée tant la direction a été séduite par le concept. A.J.: Il s’agit, en effet, d’un concept très original ! Que pouvez-vous nous dévoiler ?B.B. : C’est parti de quelque chose de très inattendue et plutôt imprévisible. Marco Gaon a fait lire la pièce à Jean-Louis Azoulay, le fondateur des galeries Eden Fine Art, l’un des plus importants réseaux de galeries d’art au monde, qui cherchait, au même moment, une façon originale de présenter les œuvres d’un de ses artistes les plus cotés, Yoël Benharrouche. L’idée géniale et inédite consiste à intégrer un vernissage à une pièce de théâtre ; et c’est sur ce concept ...