« Bén ha-Métsarim – de l’exiguïté oppressive à la largesse de vue »

La période douloureuse comprise entre le 17 tamouz (où furent brisées les Tables de la loi suite au péché du veau d’or) et le 9 av (marquée par la faute des explorateurs et la destruction des deux Temples) est appelée Bén ha-Métsarim : « entre les étaux » (ou « entre les détresses »), expression tirée de la Meguila d’Eikha (« Lamentations » 1, 3) : « Yehouda a été exilé […] tous ses poursuivants l’ont atteint entre les étaux » – où nous continuons d’être pressés et comprimés.Vingt-deux jours séparent ces deux tragédies – correspondant, selon certains (Ohev Yisrael, fin Pin‘has), aux  22 jours de fêtes que nous célébrons tout au long de l’année juive, et selon d’autres, aux 22 jours compris entre Roch ha-Chana et la fin de Soukoth. En effet, pour le Yalqout Chim‘oni (Pin‘has), c’est pendant les mois d’été – tamouz, av et eloul – marqués par les récoltes et par le contentement qui en résulte, que nous aurions dû initialement célébrer les fêtes de tichrei : Roch ha-Chana aurait dû ainsi avoir lieu le 17 tamouz ; Yom Kippour le 9 av, et Soukoth aurait dû débuter Roch ‘hodech eloul. Ce nombre 22 est hautement symbolique pour ...

Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal

Je me connecte

Supplément du journal

Petites annonces

Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce

Publicités

Bouton retour en haut de la page

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page