Au kiosque du printemps

L’ours est à la presse écrite ce que le générique de fin est aux films, et comme une carte d’identité placée dès les premières pages du journal, il raconte qui fait quoi dans la publication. Ces derniers temps, les « ours » des journaux associatifs se sont étoffés de noms et de services et il n’est plus rare d’y voir figurer un comité éditorial, un service abonnement ou un autre pour la publicité. Certains ont même un numéro de commission paritaire et un ISSN. Longtemps rattaché au département de la communication, le journal associatif crée du lien avec le lecteur-donateur mais il a aussi conquis le public. On aime le lire pour ce qu’il raconte de la vie d’une institution, on aime ses photographies où l’on reconnaît parfois des visages. Et on se plaît à être surpris par des dossiers et des ouvertures sur des sujets liés à ses centres d’intérêts. Du coup, ce sont plutôt ces sujets-là qui sont mis à la « Une ». Adama, la revue du KKL a ainsi préféré mettre en couverture de son numéro d’avril son dossier sur l’Alyah contemporaine des années 80 à nos jours et l’entretien accordé par le grand rabbin de France Haïm Korsia à l’occasion de Pessah plutôt que ses projets institutionnels.Idem pour la revue de la Coopération Fém ...

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