Au fait, il était juif Robin Williams?

Dans un monde artistique parfait, Jean-Jacques Goldman sortirait un nouvel album, la pkaïla serait au patrimoine mondial de l’UNESCO, et Robin Williams aurait été juif. Hélas, entre retraite heureuse et ignorance gastronomique, le monde a laissé mourir un génie dont il eût été de notre devoir communautaire de faire juif. Le 11 août 2014 sera indéniablement un jour sombre dans l’histoire de l’entertainment et du judaïsme américain : Robin Williams mourait à l’âge de 63 ans, prisonnier d’une dépression aggravée d’un début de la maladie de Parkinson.    « Ô capitaine ! Mon capitaine ! » ont dû une dernière fois écriés les fans de celui qui incarna avec tant d’humanité le professeur de littérature du « Cercle des poètes disparus ». Mais plus encore, c’est le judaïsme dans son ensemble qui a pleuré le départ dans des circonstances dramatiques d’un homme dont le génie le destinait à être juif. A un point tel que, plus que quiconque, Robin Williams méritait d’être appelé non-juif plutôt que chrétien ou bouddhiste ou musulman, tant son existence tou ...

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