Attentat à Nice: Les réseaux de la colère et du désespoir

Ils ont été Charlie, ils ont été Paris, cette fois, les réseaux sociaux ne sont pas Nice, ils sont en colère. Colère que la France soit de nouveau frappée dans ce qu’il y a de plus quotidien, de plus festif. Certains s’extasiaient encore des feux d’artifice, un peu comme les chaînes d’information en continu qui diffusaient les festivités parisiennes en direct tout en ajoutant un bandeau en bas d’écran annonçant l’attentat de Nice. Puis la consternation. « Pray for Nice » commence à fleurir alors que la zone n’est pas encore sécurisée et qu’un premier bilan de nombre de victimes et de blessés se fait attendre.Mais les premiers chiffres tombent, c’est la consternation. Facebook active son « Safety check », permettant aux personnes d’être à proximité des lieux de l’attentat d’indiquer qu’elles sont en sécurité. Sur Twitter, les premières photos et vidéos de l’attaque circulent. Certains demandent de les retirer, « un peu ...

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