Assad passe à la caisse

« Si l'Iran nous demande d'établir des bases en Syrie, nous n'hésiterons pas. L'Iran a versé son sang pour la terre syrienne », affirmait Bashar al Assad le 13 juin dans une interview à la chaîne iranienne al-Alam News. Une dérive intéressante par rapport aux propos qu'il tenait quelques jours plus tôt, où il démentait avec la même énergie toute présence militaire iranienne sur son territoire. Le dictateur syrien reconnaît ainsi sa dette au régime de Téhéran et son engagement à l'inclure dans tout arrangement futur sur le sort de son pays. Si les déclarations d'Assad ne sont pas vraiment une surprise, elles le ramène ...

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