Après la Conférence de Paris, une nouvelle résolution à l’ONU ?

Se méfier jusqu’au bout. Tel semble être le mantra de la diplomatie israélienne en ces derniers jours de l’administration Obama. Le président démocrate quittera la Maison Blanche le 20 janvier pour laisser place à un Donald Trump dont les premières déclarations ont reçu un accueil très favorable à Jérusalem. Quinze jours, un délai trop court pour tenter une dernière embardée ? Pas si sûr, estime les diplomates israéliens. Depuis des mois, les stratèges du gouvernement Netanyahou et du Conseil de sécurité nationale tablent sur une série de mouvements que pourraient prendre Barack Obama, en fin de mandat, pour contraindre l’Etat hébreu à engager des négociations avec l’Autorité palestinienne.    L’une des options envisagées consistait en une intervention officielle présentant les paramètres d’un règlement du conflit israélo-palestinien. Soit précisément l’intention exprimée par le discours cinglant de John Kerry, le 28 décembre. L’interrogation porte désormais sur la transformation pratique de cette prise de parole. Pourrait-elle donner lieu à une nouvelle résolution du Conseil de sécurité, aux conséquences autrement problématiques pour l’Etat d’Israël que la résolution 2334, votée le 23 décembre ?Les Américains auraient indiqué à leurs homologues israéliens leur intention de ne pas engager ou soutenir de nouvelles initiatives à l’ONU avant le 20 janvier. Interrogé par CNN, le conseiller adjoin ...

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