Alain Weisz : « Le championnat israélien n’a rien à envier à son homologue français »

Cette figure emblématique du basket hexagonal, qui a entraîné l’équipe de France ainsi qu’une kyrielle de clubs, occupe désormais le poste de vice-président de Boulogne-Levallois en charge des opérations sportives. Dans l’entretien, qu’il a accordé à Actualité Juive, l’homme de 67 ans affiche une passion intacte pour son sport de cœur sérieusement impacté par la crise sanitaire. Récemment, dans les colonnes de L’Équipe, vous mettiez en garde sur le fait que le basket puisse « tomber dans l’oubli ». Pour quelles raisons ?Alain Weisz : A partir du mois de novembre, on a assisté à un refus des clubs de Jeep Elite de jouer en championnat à cause de l’absence du public dans les salles. Trois écuries ont néanmoins accepté dès le départ de poursuivre la compétition : Villeurbanne, Monaco et Boulogne-Levallois. Pour nous, il n’y avait aucune raison de ne pas jouer surtout que tous les clubs ont reçu des aides gouvernementales. Nous jouons mais encore trop peu comparé au rythme habituel. Une assemblée générale doit se tenir aux alentours du 20 février pour déterminer si l’on continue la Ligue sans publi ...

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