Accords, désaccords

Faute de camps idéologiques clairement identifiés, ce sont les alliances électorales et les coalitions qui scelleront le sort de l'élection. S'il y a bien une droite en Israël, en revanche il est difficile de trouver un centre ou une gauche homogène. L'éclatement du parti Bleu Blanc précipite l'éclosion de nouveaux partis centristes, dont il est encore trop tôt pour prédire les chances. A ce stade, seul le parti laïc de Yaïr Lapid, Yesh Atid, avec ses huit ans d'ancienneté, fait office de repère à peu près stable. Le parti de Benny Gantz pourrait survivre à un quatrième scrutin, mais en passant de justesse le seuil de représentativité. Le nouveau parti de Ron Huldaï, le maire de Tel Aviv, peine à décoller dans les intentions de vote. Quant aux autres, ils sont presque assurés de rester en dehors de la prochaine Knesset, s'ils ne passent pas d'alliance électorale. Et c'est ce à quoi il faut s'attendre dans les semaines qui vie ...

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