A la rencontre des envoyés du Rabbi Loubavitch

Au-delà des grandes réalisations comme les écoles ou les divers événements publics, pour le commun des mortels, le mouvement loubavitch est identifié à ses militants qui vont à la rencontre des juifs un peu partout dans l’Hexagone. S’adjoignant parfois à des communautés existantes pour leur apporter, comme le dit l’un d’entre eux, « quelque chose en plus » ; ou créant ex nihilo des structures adaptées aux besoins locaux. Comment devient-on shalia’h, à savoir envoyé du mouvement ’habad ? Pour beaucoup, la chose est évidente. « J’ai été éduqué dans cet état d’esprit, dit l’un d’entre eux. J’ai toujours été conscient de l’importance de la mission et du travail à faire ». « Après ma bar-mitsva, dans les différentes yeshivot où je suis passé, dit Yossef Martinez, le shalia’h du 12ème arrondissement, on attendait le jour où on allait devenir shalia’h. C’était une évidence qu’après le mariage, et c’était la même chose pour ma femme, venait letemps de la shli’hout ». Concrètement, jusqu’ici, c’était le Rav Azimov (zal) qui proposait un endroit au candidat shalia’h pour y exercer ses talents, une procédure sanctionnée par le Rabbi lui-même qui, dès le début des années 80, déclara que ses envoyés propres ont le pouvoir d’en nommer d’autres si le besoin s’en fait sentir. Les gens leur sont souvent très reconnaissants Les lieux et modes d’intervention sont très divers. Dans les endroits où une communauté fonctionne déjà, le shalia’h loubavitch peut organiser des acti ...

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