A Gaza, 1 mort sur 2 était bien un terroriste
Toute intervention militaire en zone urbaine suppose inévitablement son lot de « dommages collatéraux », à savoir, de victimes civiles. Derrière cet euphémisme, plane l’incrimination de crime de guerre. De fait, l’opération menée par Tsahal à Gaza cet été n’y a pas dérogé. Dans une zone densément peuplée, le nombre de civils parmi les pertes palestiniennes a fait débat depuis le début du conflit.Pour Navi Pillay, haut-commissaire des Nations-Unies aux droits de l’homme, 81% des 2147 palestiniens tués durant le conflit étaient des civils, l’amenant a déclaré que les Israéliens n’avaient pas tout fait pour « protéger la vie des civils ». Toutefois, dès le 3 août, la journaliste finlandaise faisait état de tirs de roquettes depuis la cour d’un hôpital. Pire ! Le 5 août, une vidéo de la chaîne indienne NDTV montrait u ...