Parachat BALAK : « Tel est pris qui croyait prendre »

Balak, roi de Moab, inquiet de l’avancée des Hébreux victorieux des Amoréens, s’allie à Madian et sollicite les services d’un homme nommé Balaam renommé pour son pouvoir de malédiction. Rachi souligne que Moab et Madian étaient des ethnies qui entretenaient des relations conflictuelles mais la haine d’Israël les incita à faire front commun. Dans un premier temps, au cours d’un songe nocturne de Balaam, Dieu lui intime l’ordre de ne pas accéder à la demande de Balak qui envoie alors d’autres messagers pour le presser d’accepter en lui promettant gloire et richesse. Dieu l’autorise finalement à les suivre en lui précisant toutefois qu’il ne pourra dire que ce qu’Il lui dictera. Au cours du voyage, un ange invisible aux yeux de Balaam mais perçu par l’ânesse qu’il chevauche, barre la route au cavalier et à sa monture à trois reprises, provoquant la colère de Balaam qui la bat. Un miracle se produit alors : l’ânesse se trouve dotée de la parole et reproche à son maître de ...

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