
La fermeté de Golda Meir lui vaudra le surnom de « Dame de fer », avant que celui-ci ne revienne à Margaret Thatcher. Rien ne pouvait la détourner de son engagement sioniste et, devenue Première ministre, en pleine guerre d'usure, Golda Meir donne le ton : « Pas d'autre garantie pour Israël que la force », elle veut «un État juif » et refuse tout compromis sur un éventuel retrait des territoires arabes conquis par Israël. Elle serévèle non seulement intransigeante mais aussi fine diplomate face aux délégués et dirigeants étrangers,parfois coriaces, au point que David Ben Gourion surnommera celle qui est alors son ministre de la diplomatie « le seul homme de son gouvernement ». Habilement et avec entêtement, elle milite pour la cause des juifs russes. « Sans elle, ils ne seraient sans doute pas un million, voire plus aujourd'h ...
Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal
Je me connectePetites annonces
Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce