De nouveaux éléments ont été récemment publiés sur l’état de santé du président russe, objet régulier de l’attention des médias et chancelleries occidentaux.Les rumeurs sur la santé fragile de Vladimir Poutine ne remontent pas à la guerre en Ukraine. En 2012 déjà, le Premier ministre japonais, Yoshihiko Noda, avait justifié le report de son voyage à Moscou par « la mauvaise santé de Poutine », une thèse que s’étaient empressées de contester les autorités russes. Plus récemment, en 2020, certaines sources indiquaient que le maître du Kremlin souffrirait de la maladie de Parkinson. Affirmation alors invérifiable malgré la couverture accordée à la question par les tabloïds anglais. C’est d’ailleurs de Grande-Bretagne qu’est partie la dernière hypothèse : s’appuyant sur les analyses de plusieurs services de renseignements étrangers - les États-Unis et le Royaume-Uni en tête - le quotidien The Daily Mail assurait, à partir de l’examen de son comportement « de plus en plus erratique », que le président russe pourrait souffrir d’ ...

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