
8 000 juifs sont dans une situation de précarité et, afin d’endiguer le phénomène, de nombreuses associations se relaient pour apporter des remèdes tant sur le plan matériel que sur le plan moral. Dans cette période de crise et de pandémie particulièrement inquiétante, la communauté juive est touchée par la précarité de la même manière que le reste de la population. De plus en plus de personnes brisent le tabou de la pauvreté et rejoignent les services sociaux habilités. Le Fonds social juif unifié (FSJU) Marseille-Provence et l’action consistoriale mettent tous les moyens pour tenter de réduire ce cycle infernal de la paupérisation. Un mois après la fin de la campagne de l’Appel national pour la Tséd ...
Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal
Je me connectePetites annonces
Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce